vendredi 1 octobre 2010

Terradillos à Bercianos le 1er octobre

Marche de 23 km sans difficultés et pas monotone. Mais la fatigue se fera sentir à la fin pour certains organismes pas encore rodés. Départ en fanfare, le petit déjeuner annoncé à 7 heures à l'albergue Jacques de Molay n'est pas servi. On marche l'estomac vide. Fureur de PM. Après 5 ou 6 km, un bistrot ouvert : joie. Traversée de Sahagun, petite ville avec de beaux monuments religieux. Nous sommes rentrés dans le pays de Leon. Halte quelques instants, puis 9 km jusqu'à Bercianos.
Hébergement : Bercianos 300 habitants une seule albergue paroissiale et pas de lits, les matelas au sol, un WC et deux douches pour 40, on va a l'hostal local où on se partage entre nous trois deux chambres. Lavage du linge, il était temps et à la main, pas drôle.
Rencontres : beaucoup de pèlerins avec qui nous parlons, les mêmes souvent depuis Fromista. Pas d'originaux ce jour. La Carreta est prise en photo par certains qui voudraient bien disposer du même engin.
Monuments : Dommage de passer aussi vite dans certaines localités Sahagun méritait une visite mais nous avons des impératifs, trouver des places dans des petits villages où les lieux d'hébergement sont en petit nombre voir uniques, lavage du linge avec le souci qu'il sèche. Tout cela ne pisse pas haut mais c'est le quotidien du pèlerin.
Bientôt l'arrivée à Leon, ville remarquable par ses églises.
Nous n'en sommes pas là.

Pardon pour l'orthographe mais le clavier espagnol et la précipitation ne facilitent pas la rédaction. (NDLR : elle tente d'y remédier sans dénaturer)
Trom Xua Snoc

Jean
NDLR : La partie Ledigos Terradillos faite la veille n'a pas été supprimée.
GE prouve bien que c'est tout droit.

 Curieux pèlerin, mais pèlerin et joyeux !
 Sera-t-elle restaurée. Le Camino est au patrimoine mondial, peut_être l'UNESCO pourrait-elle faire quelque chose
 Une porte monumentale pour une ville qui doit êtrre Sahagun
Encore un franchissement de pont
 Mais le problème ça reste : les pieds !
Et pas le temps d'attendre cette halte pèlerin abritée toute proche d'un lieu de méditation isolée dans la plaine
 Tout souffre dans cette pleine aride, torride en été glaciale en hiver ...
 A l'arrivée la lessive est une réalité à laquelle il est difficile d'échapper

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